Interview métier No 3

Interview métier avec Réjane Bilon, Elsa Loury et Grzegorz Rembelski ,
Equipe administrative du secteur arrosage

Depuis quand travaillez-vous pour l’entreprise Jacquet ? Quel est votre parcours?

Réjane : Je voulais quitter mon ancien travail en changeant totalement, j’ai postulé au poste d’assistante un peu par hasard chez Jacquet et j’ai débuté en juillet 2020. J’ai une maitrise en anthropologie et un master en aménagement du territoire.

Elsa : Je suis entrée chez Jacquet en 2015 en job d’été, puis embauchée en 2016. J’ai fais un bachelor en architecture du paysage à l’HEPIA.

Grzegorz : Je suis arrivé il y a bientôt trois ans. Dans mon ancien travail je faisais moitié terrain, moitié bureau et j’avais envie d’évoluer, c’est comme ça que je suis arrivé ici. J’ai fais une école d’agriculture section maçonnerie en Pologne.

De quoi faut-il tenir compte lors de l’installation d’un arrosage intégré ?

Il faut tenir compte de beaucoup de choses, mais surtout de l’exposition, du type de plantation, des pentes, et de la nature du terrain. C’est ce qui nous permet de sectoriser l’arrosage ! Et dans un second temps, du budget aussi tout de même.

Quelle est la plus-value du secteur arrosage de l’entreprise Jacquet ? Notre souplesse légendaire ! On s’arrange toujours au maximum pour aider nos collègues.

Quelle est la vision durable ou les actions durables du secteur arrosage ?

C’est surtout trois axes :

  1. Développer la tensiométrie
  2. Proposer de la gestion à distance
  3. Adapter le projet de plantations, c’est-à-dire proposer des adaptations dans le jardin pour arroser moins.

Et puis sensibiliser nos clients aussi bien sûr !

Quels sont les principaux défis auxquels vous êtes confrontés ?

Le plus gros défi c’est surtout la coordination avec tout le monde, que ce soit en interne ou en externe avec les clients, les architectes, les équipes, les autres secteurs ! C’est pour ça qu’on est réputés pour notre souplesse légendaire (Rires.) !

Au niveau du climat, par rapport à il y a 5 ans, nous faisons les mises en route beaucoup plus tôt, en moyenne 2 semaines avant. Donc début ou mi-mars alors qu’avant c’était en avril. Même chose pour les hivernages, aujourd’hui c’est plutôt en décembre (voire pas du tout selon les endroits !) alors qu’auparavant c’était octobre ou novembre.

Et puis la nécessité de s’adapter aux nouvelles règlementations avec les sécheresses récurrentes : par exemples face aux restrictions d’eau dans le canton de Vaud, nous avons dû passer chez les clients pour arrêter ou adapter l’arrosage. Même si à Genève on est plutôt à l’abri, à nous de faire attention aussi en concevant les jardins au bureau d’études, de manière à consommer moins d’eau.